Les métiers de l’automobile sont peu représentés dans les groupes BNI Dordogne Gironde. Si les concessionnaires ont franchi le pas, d’autres métiers aussi bien techniques que commerciaux, n’osent pas encore se lancer dans ce réseau professionnel, qui a pourtant beaucoup à leur offrir. Nous avons échangé avec 3 de nos membres locaux qui travaillent dans des métiers liés à l’automobile et qui ont largement augmenté leurs parts de marché et leur chiffre d’affaires grâce à BNI. Alors, qu’attendez-vous ?

Catherine Gay / Pierre Le Ray / Wilfrid Etcheber

Les chauffeurs VTC et BNI

Catherine Gay est membre de BNI Confluence Affaires, groupe basé à Artigues en Gironde. Elle est chauffeur VTC depuis 3 ans (auparavant, elle était ambulancière) et membre de son groupe depuis 18 mois. « Je suis VTC indépendante, c’est-à-dire que je ne suis rattachée à aucune plateforme. Mon métier est très largement promu par le bouche-à-oreille, BNI m’a donc tout de suite interpellé. C’est une amie qui m’a invitée à une réunion, j’y ai apprécié la façon saine et directe d’échanger. J’ai présenté mon activité et senti un potentiel de développement. Après avoir intégré le groupe, j’ai très rapidement reçu des recommandations pour des transports scolaires réguliers. »

Le métier de Catherine est peu représenté à BNI, ce qui lui a donné l’occasion d’aller se présenter dans d’autres groupes, un peu plus loin de chez elle pour élargir son champ des possibles. « Depuis peu, il y a un second chauffeur VTC dans un groupe voisin et nous travaillons ensemble, c’est agréable et constructif ! Cela me fait du bien de rencontrer d’autres entrepreneurs, d’échanger et de partager sur mon métier qui reste finalement, assez solitaire. ».La richesse de son groupe, c’est la diversité : tous les types de métiers, tranches d’âges et situations sont représentés, ce qui forme une mosaïque dynamique et toujours en mouvement : « C’est ce que j’aime chez BNI, il y a de la bienveillance et de la curiosité positive en chacun de nous ».

Les VTC ont tout à gagner à rejoindre un groupe BNI, pour stabiliser leur activité grâce à des recommandations fréquentes, mais aussi des transports réguliers de passagers.

VTC et BNI, une complicité qui se construit

Auto-école et bons contacts professionnels !

S’il y a bien une activité qui concerne une immense majorité d’entre nous, surtout en zone rurale et périurbaine, c’est l’auto-école. Nous sommes tous passés par l’une d’entre elles pour obtenir notre permis de conduire et chaque année, ce sont des milliers de personnes qui passent divers permis pour des raisons personnelles ou professionnelles.

Les auto-écoles indépendantes ou franchisées, ont tout à gagner à rejoindre un groupe BNI. Pierre Le Ray, qui tient une franchise City Zen à Sarlat-la-Canéda en Dordogne peut en témoigner : « J’ai rejoint il y a deux ans le groupe sarladais BNI Sarlat Développement pour représenter nos 3 agences de Montignac, Sarlat et Belvès. Nous avons 9 salariés et à l’époque j’étais moi aussi employé. Lorsque j’ai racheté l’entreprise, je suis resté dans le groupe BNI car celui-ci nous apporte d’importants contacts et contrats professionnels. Nos clients font des formations à l’éco-conduite, des stages de récupération de points, des formations remorques ou poids lourds. Nous bénéficions également d’un capital confiance et recevons les enfants des membres du groupe et de leur réseau, pour passer le permis accompagné ou le permis voiture ! ». Grâce à son appartenance au groupe, Pierre assoit sa visibilité dans son secteur et émerge par rapport à ses concurrents. « Ce que j’apprécie également, c’est l’échange humain, j’ai rencontré de précieux contacts et même de vrais amis. Vous savez, nous nous voyons tous les jeudis, cela tisse des liens ». Pierre n’a pas rencontré d’autres représentants d’auto-écoles : « Je suis le seul en Dordogne, c’est dommage ! Peut-être que les autres pensent que ce n’est pas adapté à notre activité, pourtant ça l’est ! Depuis 4 ans que je suis membre de mon groupe, le retour sur investissement est bien présent et je renouvelle mon adhésion chaque année sans hésiter. »

BNI, un retour sur investissement tangible pour les professionnels de l’auto-école

Les garagistes autonomes ou en structure trouvent de nouveaux clients chez BNI

Wilfrid Etcheber exerce un métier auquel on ne pense pas forcément, mais qui est si évident et pratique qu’il se développe de plus en plus : il est garagiste à domicile ! Installé dans le Bordelais, il se rend chez les professionnels et les particuliers avec son fourgon tout équipé, ce qui lui permet de réaliser plus de 90 % de l’entretien de tous les types de véhicules. « J’étais militaire et c’était mon métier ! Quand j’ai quitté l’armée, j’ai tout simplement fait la même chose mais à mon compte ! ».Faire de la mécanique autrement, c’est une activité novatrice et en plein essor : « Peu de gens le savent, mais les garagistes à domicile peuvent tout à fait préserver la garantie constructeur des véhicules. » Un ami enseigniste l’invite un jour à BNI, au début il se pose des questions et se demande (comme beaucoup), si c’est bien pour lui … C’est avec circonspection qu’il intègre BNI Triangle d’Or, mais rapidement il change radicalement d’avis « Dès ma première année chez BNI, j’ai explosé tous les plafonds de mon statut d’auto-entrepreneur ! J’ai changé de statut juridique pour passer aux choses sérieuses et aujourd’hui, plus de 40 % de mon chiffre d’affaires provient de mon engagement BNI ». Des résultats très largement au dessus de ses espérances, mais ce n’est pas seulement le côté financier qui l’a charmé « Humainement, j’ai appris tant de choses ! J’ai pu développer ma confiance en moi, améliorer mon relationnel et mes modes d’expression. C’est une expérience vraiment enrichissante et formatrice ».

Les garagistes à domicile et ceux qui travaillent en structure classique, sont très peu représentés à BNI. La clientèle est pourtant présente et qualitative, alors qu’attendez-vous ?

Garagiste à BNI, un business qui roule !